Cérémonie du 11 mars 2021 en hommage aux victimes du terrorisme
Chaque année, le 11 mars rassemble tous les Français dans un recueillement collectif pour se souvenir et pour affirmer avec force « notre unité et notre détermination à combattre les fureurs de tous les obscurantismes et de tous les fanatismes ».
En Haute-Vienne, le préfet et le maire de Limoges se sont mis à la disposition de l’association France Victimes 87 et des jeunes du Centre Social Alchimis pour organiser cette cérémonie, pour qu’elle soit le symbole du rassemblement, de la solidarité et un instant de partage, en mémoire de toutes les victimes du terrorisme. Merci à eux pour leur engagement et pour leurs initiatives.
Maître de cérémonie : M. DURIX, directeur départemental de l’ONACVG.
En présence de deux porte-drapeaux (amicale des porte-drapeaux et ANACR) et les deux vice-présidents du conseil départemental de l’ONAC.
11h00 : début de la cérémonie
Toiles exposées en fond, représentant un « Mur d’expression », et réalisées par des jeunes du centre social Alchimis du Val de l’Aurence.
- Lecture des messages :
► Court explicatif de l’engagement des jeunes par Monsieur Olivier GUILLOT, président de France victimes 87.
► Poème slamé par les jeunes (et musique).
► Dépôt de roses par les jeunes autour de la toile.
► Lecture du message par Monsieur Sébastien BRACH, directeur de Cabinet, représentant le préfet de la Haute-Vienne.
- Aux morts
- Minute de silence
- Hymne national
- Rencontre des autorités avec les jeunes qui présenteront leur toile
11h15 : fin de la cérémonie
Thématiques des toiles réalisées par les jeunes d’Alchimis
Ces toiles seront reliées par le bleuet de France :
- Solidarité
- Unité nationale
- Mots adressés aux victimes et proches de victimes
- Humanité
Le « mur d’expression » est un espace d’expression libre où chacun peut noter une phrase, une réflexion, un mot. Pour les jeunes, il s’agit d’une autre forme d’écoute et d’échanges de leurs sentiments autour de la thématique du terrorisme et de son impact sur les victimes, mais aussi sur eux en tant que jeunes citoyens français.
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